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Le blog de Corinne, Info.co.over-blog

NDE Le nouvel ouvrage du Dr CHARBONNIER "Les révélations choc d'un anesthesiste réanimateur" sort le 01 avril 2010

19 Février 2010, 10:06am

Publié par biogienique - ytisse


Pour ceux et celles qui s'interessent aux expériences spirituelles de Vie après la mort :

Je vous informe de  la sortie  au 01 Avril 2010  du nouvel ouvrage du Docteur Charbonnier.

 


« Les révélations choc d’un anesthésiste réanimateur. » Le Cherche Midi.

 


Jean Jacques Charbonnier est un référent dans le domaine "NDE".

Dans le cadre de sa pratique professionnelle, il a pratiqué de nombreuses réanimations cardio-respiratoire.

Il s'occupe depuis plus de 20 ans des personnes en état de mort imminente ainsi que des comateux.

En résumé, il affirme :

- qu'un état de conscience modifié est possible lorsque le cerveau s'arrête de fonctionner.

- que les comateux sont capables d'emettre et recevoir des pensées par télépathie.

- qu'un souffle de vie a pu être physiquement ressenti par de nombreux soignants au moment de la mort.

- qu'un comateux peut se conceptualiser comme une entité relié à un cordon invisible.

Reconnu par beaucoup, méprisé par d'autres, il continu ses recherches....

Laissons les chercheurs chercher non de non !  au nom de la science, au nom d'un Dieu réél ou supposé ! au nom  des 70% de notre cerveau  non identifié ou handicapé...!

 

Voir la vidéo où le Dr Charbonnier, médecin anesthesiste réanimateur raconte qu'il est difficile pour les scientifiques d'intégrer les experiences de mort iminente.

DR-CHARBONNIER-You-tube.jpg


LES REVELATIONS CHOC D’UN ANESTHESISTE REANIMATEUR

 Présentation de l'ouvrage par le Dr Jean Jacques Charbonnier

  " Pour ce nouveau livre qui sera disponible en librairie dès le premier avril, j’ai choisi l’humour pour sensibiliser une nouvelle population de lecteurs aux sujets qui me sont si chers. Dans cet ouvrage, il est bien sûr question de NDE, de vie après la mort, de comas, de médiumnité et de spiritualité mais tous ces thèmes sérieux sont abordés sur un fond narratif allégé par de nombreuses anecdotes drolatiques  vécues tant dans ma vie professionnelle qu’au cours de mon activité de conférencier. 

   Pour réaliser ce projet, j’ai cherché un éditeur « grand public » spécialisé dans l’humour et c’est donc très naturellement que j’ai envoyé mon travail au « Cherche Midi » après avoir tapé « éditeurs livres + humour  » en moteur de recherche sur Google. Une semaine plus tard, Pierre Drachline, le directeur du comité éditorial du Cherche Midi m’appelle pour m’annoncer qu’il allait prendre mon texte. Il me raconte comment mon manuscrit lui est quasiment tombé dans les mains. Manifestement, un étonnant phénomène de synchronicité a agit en ma faveur. « Nous recevons une cinquantaine de manuscrit par jour et je ne les lis jamais avant que mon comité de lecture ait effectué un premier tri », me dit-il. Puis, après un court silence et une quinte de toux (c’est un gros fumeur),  il rajoute : « Mais pour votre manuscrit, je ne sais pas ce qui s’est passé ; il était au-dessus d’une pile d’envois et, sans vraiment savoir pourquoi, je l’ai amené chez moi. Je l’ai lu dans la soirée d’une seule traite. Je n’ai jamais fait ça … Je ne vais même pas demander un autre avis, puisque c’est moi qui décide ! J’ai beaucoup ri mais j’ai aussi été touché et ému à de nombreuses reprises…surtout lorsque vous évoquez les expériences aux frontière de la mort avec les comateux. À quels autres éditeurs l’avez-vous envoyé ? » Autre surprise pour Pierre Drachline lorsqu’il apprit qu’il était le seul destinataire. En effet,  pour augmenter leurs chances de réussite, les auteurs adressent simultanément leurs proses à au moins une dizaine d’éditeurs.

   En fait, aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est Philippe Bouvard qui est à l’origine de ce livre.

   Le statut d’invité d’honneur qu’il m’attribua pour participer à son émission « Les Grosses Têtes » diffusée sur RTL me soumit à l’exercice traditionnel « des trois coups », à savoir : pousser un coup de gueule, donner un coup de fil et raconter un coup de honte.

   Pour le coup de gueule, ce fut chose facile. J’avais très envie de défendre les médiums ou plutôt certains médiums honnêtes qui ont, de mon point de vue, un rôle social indéniable à jouer dans la thérapeutique du deuil. En effet, on peut croire ou ne pas croire aux facultés de ces personnes qui entrent en contact avec les morts, mais, en tant que médecin, on ne peut nier le soulagement éprouvé par les familles des défunts lorsqu’elles reçoivent par leur intermédiaire un signe de reconnaissance de l’être aimé, passé de l’autre côté du voile. Or, en France, les médias et l’opinion publique ont la fâcheuse tendance d’assimiler la médiumnité à une vaste escroquerie. Bien sûr, il y a beaucoup de charlatans et d’exploitations lucratives de la naïveté humaine par cette confrérie. Bien sûr. Mais il y a aussi parmi eux des gens formidables et désintéressés qui permettent à des parents de retrouver un équilibre mental ou d’abandonner leurs idées suicidaires après la perte d’un enfant sans avoir nécessairement besoin d’ingérer de grosses quantités de médicament ou d’être hospitalisés dans des services psychiatriques. Un fait est certain, dans notre beau pays, nous avons deux records : celui de la bêtise pour aborder les thèmes du paranormal et celui de la consommation de psychotropes. Par moments, on peut se demander si ces deux performances ne sont pas liées !

   En ce qui concerne « le coup de fil » à adresser à un « people » de mon choix, je devais me heurter à deux refus polis en préparant l’émission. Mireille Darc qui était venue m’interviewer à Toulouse pour finaliser un documentaire sur la mort serait dans un train à l’heure de l’enregistrement. Quant à Dominique Bromberger, qui avait déjà participé avec moi à différentes émissions de radio ou de télévision sur les états comateux, celui-ci exulta sans vergogne lorsque je lui fis cette proposition : « Mais vous êtes fou d’aller chez Bouvard, vous allez vous faire laminer ! Hors de question que je participe à ce massacre ! Croyez-moi, n’y allez surtout pas : ils vont tout tourner à la dérision ! » La réaction de ce célèbre chroniqueur de France Inter, ancien présentateur télévisé du journal de 20 heures, était bien compréhensible compte tenu du mauvais moment qu’il avait passé dans une émission de Fogiel en racontant son expérience de coma vécue à la suite d’un accident de scooter. Fog et Guy Carlier s’en étaient donnés à cœur joie pour ridiculiser son témoignage qui était pourtant émouvant de sincérité. En ce qui me concerne, je n’ai jamais eu à me plaindre de telles moqueries ; que ce soit sur les plateaux de Delarue, de Dechavanne ou même de Cauet, les animateurs et le public ont toujours écouté ce que j’avais à dire avec beaucoup d’attention et de respect. Sans nul doute, mon statut de médecin anesthésiste réanimateur doit considérablement renforcer la crédibilité de mes propos, en particulier lorsque je m’exprime sur l’existence, selon moi scientifiquement prouvée, d’une vie après la mort !  

   J’avais appris par une amie que Nicoletta avait vécu une NDE dans son enfance à la suite d’une tentative de suicide. Mais, à l’inverse des deux célébrités précédentes, je ne l’avais encore jamais rencontrée. Elle me reçut très gentiment au téléphone et accepta de livrer son témoignage aux « Grosses têtes ».

   Le « coup de honte » fut pour moi la partie la plus facile à traiter car les anecdotes comiques et déshonorantes, abondent lorsqu’on a vécu plus de vingt-cinq ans dans les blocs opératoires, les services d’urgence ou les unités de réanimation. En fait, je m’aperçus très vite que je n’avais que l’embarras du choix ! Sans le savoir, Philippe Bouvard venait d’ouvrir la vanne rouillée d’une vieille écluse contenant un flot d’histoires croustillantes se déversant en cascade du plus profond de ma mémoire. Pour ne pas reperdre tous ces souvenirs, une semaine après l’émission, je me mis rapidement à rédiger un texte qui est devenu au fil du temps suffisamment conséquent pour en faire un livre.  

      La spiritualité n’exclue pas l’humour et la joie de vivre. Bien au contraire. Après tout, ne dit-on pas de quelqu’un qui a beaucoup d’humour qu’il est « très spirituel ».

   Pour en savoir plus visiter son site 

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